mercredi 22 juin 2016

Priez, enfants de Dieu, priez ; l'antéchrist, le boucher, obtient l'aide et la protection des membres des élites qui gouvernent derrière le trône : le Bilderberg Club, les Illuminati et les Maçons le feront s’élever en quelques instants.

Maman Marie à Luz de Maria le 20 mai 2016


Petit dossier d'acclimatation pour néophytes


☆ LES ORIGINES ☆ LA MISSION 'OFFICIELLE'

☆ LES CONSENSUS ☆ LEUR VISION DU FUTUR

☆ LES GRANDS ACTEURS ACTUELS

☆ LA RENCONTRE DU 9 AU 12 JUIN 2016

☆ PRONOSTIC QUI PEUT ÊTRE SALE ET LAID



Écrit par William F. Jasper (New American)
Le 21juin 2016

SOURCE : Catholic Family News
SOURCE ORIGINALE : The New American

Quel est le résultat probable du conclave tout juste conclu de la cabale mondiale connue comme Bilderberg ? En bref, il semble que « le grand et le bon », les grands et les puissants de la puissance du monde, ont atteint un « consensus » sur un certain nombre de questions clés. Au premier rang, ce sont les élections présidentielles américaines de novembre et le référendum Brexit qui approchent rapidement – prévu le 23 juin. Et quel est le consensus Bilderberg sur ces deux questions ? Simple : Trump doit être arrêté (et Hillary élue) ; le Brexit doit être arrêté (et le Royaume Uni toujours gardé pris au piège dans le « Projet » en évolution de l'UE ).

Voici plus d’éléments de consensus dans le groupe Bilderberg : l’inondation de la migration des « réfugiés » en Union Européenne doit se poursuivre ; les révoltes politiques populistes contre les élites en Autriche, en Hongrie, au Royaume Uni, en Italie, en France et ailleurs doivent être neutralisées ; les régimes commerciaux globalistes TPP ( Accord de partenariat transpacifique ) et TTIP ( Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement ) doivent être formellement approuvés ; davantage de renflouements financiers des banques et des grandes sociétés —autant des renflouements externes par les gouvernements ( « Bail-outs » ) que des renflouements internes ( « Bail-ins » ) par les clients et les actionnaires mêmes des sociétés trop grandes pour faire faillite ( « Too-Big-to-Fail» ) — doivent être préparés. Et beaucoup, beaucoup plus encore.

Avec le conciliabule Bilderberg hermétiquement scellé au public, comment puis-je prétendre connaître ce « consensus » secret ? J’y reviendrai à cela.

La 64e réunion du Groupe Bilderberg a eu lieu du 9 au 12 juin dans le luxueux Hôtel Taschenbergpalais (voir photo) à Dresde, en Allemagne. La conférence annuelle des grands détenteurs du pouvoir et des faiseurs de rois monde se sont réunis en secret qui, par le passé, a fait sa marque et sous une sécurité serrée — et avec la complicité habituelle de la presse grand public traditionnelle ( « mainstream ») et prostituée — la « presstitution » — qui fait semblant de ne pas remarquer que ce haut concile notoire de politiciens, de banquiers et d’industriels pourrait être en train de comploter quelque chose de nuisible au bien public.

L’apport Bilderberg a été essentiel dans le lancement la Communauté Européenne du Charbon et de l'Acier (CECA) et a été actif jusqu'à présent dans la CECA la transformant progressivement en l’Union Européenne (« UE » ) (et en dictature socialiste que cette entité devient rapidement). Les politiciens autrefois obscurs comme Bill Clinton (USA) et Tony Blair (Angleterre), ne sont seulement que deux des hommes politiques plus connus qui ont été placés dans les plus hautes fonctions de leur pays suite après avoir déambulé sur le podium devant la Cour royale de Bilderberg. Un des plus flagrants et notoires coup politique et financier des Bilderberger — et qui a finalement forcé l'attention du monde sur leurs machinations malveillantes — fut le « le coup d'Etat des Frères Mario Brothers » en Italie en 2011, suite à la conférence Bilderberger de cette année-là. Dans cette manœuvre effrontée, les élites Bilderberger ont balancé le gouvernement italien élu de Silvio Berlusconi en faveur de leur banquier trié sur le volet par Bilderberg / Goldman Sachs, Mario Monti, tout en mettant également le banquier Bilderberg / Goldman Sachs, Mario Draghi, en charge de la Banque Centrale Européenne.

Fondée aux Pays-Bas en 1954 (à l'Hôtel de Bilderberg, d'où le nom), la conférence du Groupe Bilderberg, selon son site internet « est une réunion annuelle destinée à favoriser le dialogue » entre certains « leaders politiques et experts de l'industrie, de la finance, du milieu universitaire et des média ».Toutes ces réunions, note le site web du Groupe Bilderberg « sont régies en vertu de la règle du Chatham House » qui se réfère à la règle de bâillon de Chatham House, le siège de l'Institut royal britannique des affaires internationales ( Royal Institute of International Affairs (RIIA) ) qui, avec son cousin américain, le Concile sur les Relations Étrangères ( Council on Foreign Relations ou CFR ), ont été les principaux centres opérationnels du mouvement en faveur d’un gouvernement mondial au cours du siècle passé.

En 1998, le journaliste britannique et participant à Bilderberg, Will Hutton, a écrit ceci dans son article dans le journal « Observer » (Royaume-Uni) concernant les réunions annuelles du Forum économique mondial (WEF — World Economic Forum) tenues à Davos, en Suisse : « De concert avec la Commission Trilatérale et la Conférence de Bilderberg, ceci est l'une des réunions clés de l'année. Aucune formulation de politiques n’est faite ici ; c’est entièrement des discussions, certaines d'entre elles banales et plates. Mais le consensus établi est la toile de fond à partir de laquelle la politique dans le monde entier est faite ». Le World Economic Forum de Davos dont il parlait est un beaucoup plus grand colloque des riches et célèbres — un assemblage tape-à-l’oeil du genre de gens qui espèrent un jour être invités à ce sommet du pouvoir représenté par Bilderberg. Si le consensus établi à Davos fournit la « toile de fond » de la politique mondiale, le consensus de Bilderberg fournit le fer de lance qui est de plusieurs fois de plus grande ampleur. Et c’est un fer de lance qui conduit délibérément notre planète vers un gouvernement mondial gouverné par une oligarchie, une oligarchie qui aurait l'air très semblable à l'élite Bilderberg d’ailleurs.

Le Contingent Clinton

Bien que les allées et venues quotidiennes à la réunion Bilderberg à Dresde étaient complètement clandestines, nous pouvons déduire beaucoup de l'histoire passée ainsi que des récentes déclarations avant et après la conférence ainsi qu’avec les déclarations, les articles et les études des organisations mondialistes, des organes de presse et des « think tanks » ( groupes de remue-méninges ou de créativité ) alliés étroitement avec l'élite Bilderberg. Mais quand il en vient à la question de Hillary Clinton versus Donald Trump, l'indice le plus révélateur est le « Qui est qui » ( Who’s Who ) parmi les participants à ce colloque sur invitation des plus exclusives seulement. De toute évidence, le colloque était paqueté de poids lourds en faveur d’Hillary comme présidente.

Ouvrant la section acclamant Clinton au Bilderberg 2016, il y avait l'ancien secrétaire d'État Henry Kissinger, la super éminence grise de l'établissement globaliste. Oui, il est un « républicain » — de nom seulement ; « Dr. K » ( K pour Kissinger ) est — le premier, le dernier et l’éternel — mondialiste engagé, comme sa carrière et ses adhésions dans les organisations d'initiés clés le démontrent, à savoir : Bilderberg, la Commission Trilatérale, Council on Foreign Relations, Conseil de l'Atlantique, Aspen Institute, Bohemian Club.

Cependant, il y a plus que des affinités idéologiques et des liens organisationnels qui lient étroitement Henry et Hillary. Curieusement, et à l'insu de la plus grande partie du public américain, Bill et Hillary Clinton ainsi que Henry et Nancy Kissinger sont copains intimes. Ces deux couples de puissance partagent leurs Noëls depuis longtemps ensemble à Punta Cana, le domaine de l'île de luxe du concepteur Oscar de la Renta, dans les Caraïbes. Les entretiens avec NPR (National Public Radio) et dans le plus journal ayant le plus grand tirage aux USA, le USA Today, Kissinger a salué le passage de Hillary en tant que secrétaire d'État et a dit qu’elle ferait un « bon président ».

Voici d'autres joueurs clés de l'équipe d’Hillary au Bilderberg 2016 :

• Vernon Jordan - Un initié et un « fixateur » de haut niveau à Wall Street / Washington, « Le Jordanien est mieux connu comme le conseiller de longue date et un ami proche de Bill Clinton. Il est le membre de Bilderberg qui a présenté Bill Clinton à l'élite du pouvoir au Bilderberg 1991. Il est un membre du CFR, associé au Cabinet d'avocats d'initiés de Akin, Gump, Strauss, Hauer & Felt et il est le directeur général principal avec la légendaire firme d'investissement de Lazard Freres & Co. Il a célébré son 80e anniversaire l'an dernier avec une partie de golf avec deux Présidents américains : Clinton et Obama.

Jordan et son épouse Ann n’ont pas été seulement des contributeurs majeurs à l’atteinte du Sénat par Hillary Clinton et dans ses courses présidentielles mais, selon le Washington Post, les Jordan appartiennent à une relativement petite liste de 146 donateurs haut de gamme qui ont contribué des dons considérables à toutes les six courses politiques fédérales des Clinton.

• Eric Schmidt - L'ancien président de Google et actuel président de sa nouvelle société mère, Alphabet, Inc., Schmidt (CFR) est classé par Forbes comme la 100e personne la plus riche du monde. Cependant, beaucoup plus important que ses contributions personnelles directes en espèces à la campagne d'Hillary Clinton, c’est l'assistance qu’il a fournie par son organisation furtive, « The Groundwork », ( travail terre à terre ) ainsi que par la programmation qu’il a prétendument construite dans les opérations de recherche de Google qui favorisent résolument Hillary et pour lesquelles il est maintenant vertement critiqué.

En outre, selon certaines sources, un grand nombre d’employés de haut niveau de Google qui sont allés et venus dans l'administration Obama et dans le Département d'État de Hillary Clinton se sont maintenant engagés activement pour appuyer la candidature d’ Hillary Clinton à la Maison Blanche à la fois financièrement et technologiquement.

• Henry et Marie-Josée Kravis — Tous les deux membres des puissants couples milliardaires sont membres du CFR et des habitués Bilderberg. M. Kravis est un fondateur de Kohlberg Kravis Roberts (KKR), l'entreprise mammouth d'investissements généralement associée à des dons à des candidats et au Parti républicain comme tel. Kravis a été un grand donateur à la famille Bush. Toutefois, KKR est l'un des grands mastodontes de Wall Street qui a déboursé des gros sous (censément 250 000 $) pour un discours prononcé par Hillary (note : Hillary est Démocrate) et Kravis a été un important investisseur dans l'entreprise ombragée connue sous le nom de Laureate International Universities par laquelle Bill et Hillary Clinton ont récolté des millions de dollars. Ce scandale est en voie de se développer et atténuera le scandale présumé de l'Université Trump qu’Hillary tente d'exploiter à des fins politiques.

• Général David Petraeus - Ce serviteur globaliste (un autre membre du CFR « républicain ») utilise sa prestance militaire et son ex-direction de la CIA afin de fournir une justification plausible pour les guerres inconstitutionnelles, non déclarées et injustes du Nouvel Ordre Mondial. Il n'a pas une grande richesse en propre mais il a été récompensé par son compatriote Henry Kravis appartenant à CFR-Bilderberger, qui a fait de lui la tête du nouvel Institut mondial KKR ( Kohlberg Kravis Roberts & Co. — compagnie de fonds d’investissement ). Dans la biographie sympathique envers Hillary « HRC : les secrets d'État et la renaissance d'Hillary Clinton » par Jonathan Allen et Amie Parnes, Petraeus dit qu’Hillary serait un « président extraordinaire ». Un des vignettes les plus amusantes de la conférence Bilderberg de cette année est la vidéo des images nouvelles du site Infowars.com (ref : Alex Jones, proprio) où le journaliste Rob Drew coure après Petraeus (avec la caméra qui tourne ) et Drew tente de lui poser des questions sur le scandale des e-mail d’Hillary alors que le général continue de faire du jogging devant l'hôtel Bilderberg.

• Roger C. Altman - Un ami de longue date et conseiller des Clinton, Altman (CFR, et un membre du Comité directeur influent de Bilderberg) a servi comme secrétaire adjoint du Trésor dans la première administration de Bill Clinton (jusqu'à ce que l'enquête Whitewater ait causé sa démission). Il est fondateur et président exécutif de Evercore Partners, une société d'investissement de plusieurs milliards de dollars qui a contribué un quart de million de dollars à Priorities USA, un fonds financier anonyme politique d’Hillary Clinton.

• Klaus Kleinfeld - Le président et chef de la direction d'Alcoa et ancien président et chef de la direction du conglomérat allemand Siemens, Kleinfeld a été un grand partisan du Président Obama et des Clinton. Et lui ainsi que les entreprises qu’il a dirigées ont été richement récompensés. Alcoa a reçu des centaines de millions de dollars de « prêts » subventionnés par les contribuables du Département de l'Énergie d’Obama. Le site Web de l'entreprise Alcoa dispose d'une page qui vante les mérites avec enthousiasme des liens de la société à la Clinton Global Initiative (CGI) et Kleinfeld y affiche lui-même une présence importante lors d'un événement majeur de CGI.

• Le sénateur Lindsey Graham (Républicain Caroline du Sud ) — Le 7 mai, le Washington Post a publié un article intitulé : « Les 10 républicains qui détestent Donald Trump le plus ». Pas de surprise, ils ont nommé Graham le n ° 1 parmi les « plus grands ennemis de Trump » » « devant même Bill Kristol, Mitt Romney et« la famille Bush » ». Ses attaques verbales continuelles contre Trump ont contribué sans aucun doute à son invitation au conclave Bilderberg — avec un dossier de votes en Chambre de nature « pro-grand gouvernement fiable », « internationaliste », « pro-intervention », « pro-guerre partout ».

Il y en a beaucoup plus mais ça vous donne la saveur. Le seul pro-Trump Bilderberger que j’ai pu trouvé est le co-fondateur de PayPal, de Facebook et de Palantir, l’investisseur Peter Thiel. Le milliardaire libertaire et assistant technique légendaire de Silicon Valley est un franc-tireur politique avec une orientation ambiguë (et sexuelle). Récemment, on m'a révélé que ce fut ce richard qui finança la poursuite concernant l'invasion de la vie privée de Hulk Hogan contre Gawker Media et qui a abouti à un jugement de 140 millions $ contre le site Web.

Thiel, un homme très intelligent, a fait une déclaration des plus confuses et incohérentes pour défendre le caractère secret des rencontres Bilderberg au site internet Infowars au cours d'une entrevue enregistrée sur vidéo sur la rue à Dresde (voir ici).

Incroyablement, Thiel soutient que le désir des citoyens et des médias alternatifs de savoir ce que les officiels publics et les puissants intérêts privés font derrière des portes closes à Bilderberg est en quelque sorte l'équivalent de ce que la brutale STASI (le KGB est-allemand) faisait quand elle pratiquait une infraction pour surveiller des citoyens privés en Allemagne communiste !

Il n’en demeure pas moins que celui-ci, embrouillé et dubitativement pro-Trump, était certainement un participant écarté au milieu du choeur des pro-Clinton, des magnats anti-Trump et des frappeurs politiques poids lourds.

Rockefeller absent

Manquant à la rencontre de cette année fut le milliardaire banquier de 101 ans, David Rockefeller, celui qui fait partie des meubles de Bilderberg depuis ses premières années et qui est aussi président sortant du CFR sans compter qu’il fut le fondateur / président de la puissante Commission Trilatérale.

Lors d'une conférence précédente de Bilderberg en Allemagne, Rockefeller a tout avoué par le biais d’un bouquet tendre adressé ses co-conspirateurs dans les médias. « Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time et à d'autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans » a-t-il dit aux participants de 1991. « Il aurait été impossible pour nous de développer notre plan pour le monde si nous n’avions pas bénéficié des brillantes lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à marcher vers un gouvernement mondial qui ne connaîtra plus jamais la guerre, mais seulement la paix et la prospérité pour l'humanité tout entière ».

En 2000, le vétéran membre de Bilderberg, Denis Healy, l'ancien chef du Parti travailliste britannique et ancien Chancelier de l'Échiquier, a fourni une autre confirmation publique de la boutade privée Rockefeller : « Dire que nous nous efforçons vers un gouvernement mondial est exagéré, mais pas tout à fait injuste » Healy a déclaré au Guardian. « Ceux d'entre nous dans Bilderberg ont estimé... qu'une seule communauté à travers le monde serait une bonne chose ».

En 2002, Rockefeller est allé plus loin dans ses Mémoires autobiographiques. Se décrivant comme un « fier internationaliste » qui travaille pour un « ordre mondial », il a étiqueté comme des « extrémistes idéologiques » les critiques qui « qui croient que nous faisons partie d'une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, me caractérisant , moi et ma famille, comme des « internationalistes » et de conspirer avec d'autres à travers le monde pour construire une structure politique et économique globale plus intégrée — un ordre mondial — si vous voulez ». Mais Rockefeller a poursuivi en disant : « Si cela est l'accusation, je suis coupable, et je suis fier de l’être ».

Le problème, c’est que la « paix et la prospérité » auxquelles Rockefeller et ses camarades Bilderberg prétendent qu’ils aspirent pour la planète exigent qu'ils aient le plein pouvoir mondial sans entrave, libre de tout contrôle. Eh bien, nous, les quelques-uns d'entre nous qui sommes des êtres inférieurs ne sont pas si certains que ce soit une si grande idée. Les Bilderberger ont été une force motrice principale derrière le lancement de l'Union Européenne et ils ont guidé chaque étape de son développement vers un Super État tyrannique. Ça ne tourne pas si bien que ça — pour les gens épris de liberté d'esprit précisément. C’est la raison pour laquelle les Britanniques se sont rués sur le Brexit et, partout en Europe, les gens se rebellent contre les politiques migratoires, la réglementation et la fiscalité imposées par l'UE. Sans aucun doute, ce furent des sujets de grande préoccupation au Bilderberg 2016 comme le fait voir le communiqué de presse clairsemé du Groupe qui répertorie « L’Europe : les migrations, la croissance, la réforme, la vision, l'unité » parmi ses « sujets clés pour fins de discussion ».

Avec des mondialistes purs et durs comme Henry Kissinger, la Directrice du FMI, Christine Lagarde, l’ancien président de la Commission Européenne, José Manuel Barroso, le Président du Carnegie Endowment, William J. Burns et le patron de Google / Alphabet, Eric Schmidt, comme échantillon représentatif, ce n’est pas hors d’ordre de conjecturer que les confrères Bilderberg ont discuté des moyens à leur disposition pour contrecarrer le vote britannique de quitter l'UE, cette Union Européenne si prisée comme étant leur « projet ». Ils ont beaucoup et d’affreux moyens à leur disposition.

Comme nous l'avons noté dans des articles précédents, beaucoup de ces internationalistes exploitent déjà publiquement leurs bureaux politiques et leurs empires médiatiques dans des efforts extrêmes afin d’arrêter le soutien britannique pour le Brexit référendaire. Ces types d'efforts vont s’intensifier et s'aggraver dans les prochains jours qui vont précéder le vote Brexit et, dans les semaines et mois à venir, dans l'affrontement Trump-Clinton de novembre qui se rapproche. Ils vont être très sales, très laids — et très dangereux.

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