samedi 10 février 2018

À la veille de la vente de feu par le Vatican,
Mgr Sorondo salue la Chine Communiste comme
exemple d '« enseignement social Catholique »



Un loup dans des vêtements de brebis aux alentours de 2018.

par Christopher A. Ferrara
SOURCE : Centre de Fatima
Le 7 février 2018


Même le site d'information conservateur laïc Brietbart [ 600 millions de lecteurs par mois ] a commencé à remarquer la corruption de l'Église Catholique au sommet comme un élément clé de la crise sociopolitique qui représente la dernière étape de ce que Patrick Buchanan [ journaliste indépendant Américain ] a appelé La Mort de l'Ouest.

Brietbart rapporte une interview de l'Évêque Argentin Marcelo Sánchez Sorondo dans un quotidien Espagnol concernant sa récente visite en Chine Communiste, où le Vatican négocie sa reddition de l'Église Catholique « clandestine » à la domination des gangsters Communistes à Pékin. Comme pour faire avancer cet acte de trahison ecclésiastique, Sánchez, que le Pape François a fait Chancelier de l'Académie Pontificale des Sciences et de l'Académie Pontificale des Sciences Sociales, loue le régime maléfique de Pékin, osant proclamer qu’« en ce moment, les Chinois sont ceux qui appliquent le mieux l'enseignement social Catholique ».

L'auteur de cet éditorial est Monsieur Christopher A. Ferrara. Monsieur Ferrara est avocat de profession. Il agissait aussi comme collaborateur principal de Feu Père Nicholas Gruner, fondateur du Centre de Fatima, Fort Érié, Canada et ayant aussi des installations à Rome. Il est chroniqueur dans plusieurs autres sites catholiques dont Le Remnant Newspaper.


Les Chinois, déclare-t-il, « cherchent le bien commun et subordonnent d'autres choses au bien-être général ». [La] valeur centrale Chinoise est le travail, le travail, le travail. Il n'y a pas d'autre moyen, fondamentalement, c'est ce que Saint Paul a dit : « Celui qui ne travaille pas ne devrait pas manger ».

Est-ce qu'un commentaire est vraiment nécessaire ? Il suffit de dire que, sous la dictature Communiste de Pékin, le Peuple Chinois est, pour reprendre les termes de Breitbart, « soumis à des avortements forcés, à des travaux forcés, à la persécution rampante des Chrétiens, à des libertés strictement limitées et à une campagne de démolition de l’Église sous le système d’un parti unique Chinois… »

Même Brietbart sait que la conception de Sánchez du « bien commun » est étrangère à l'enseignement social Catholique, qui soutient ( citant le Catéchisme de Jean-Paul II ) que « le bien commun réside dans les conditions d'exercice des libertés naturelles indispensables au développement de la vocation humaine, comme le droit d'agir selon une saine norme de conscience et de protéger la vie privée, et la liberté légitime également en matière de religion [ c'est-à-dire la liberté pour la vérité, non pas l'erreur ] … »

De plus, l'élément ultime du bien commun est la béatitude éternelle, que l'État, dans sa sphère de compétence, est obligé d'aider chaque citoyen à l’atteindre. Comme le Pape Saint Pie X a déclaré contre l'erreur de « séparation de l'Église et de l'État » :

« Qu'il faille séparer l'État de l'Église, c'est une thèse absolument fausse, une très pernicieuse erreur. Basée, en effet, sur ce principe que l'État ne doit reconnaître aucun culte religieux, elle est tout d'abord très gravement injurieuse pour Dieu, car le créateur de l'homme est aussi le fondateur des sociétés humaines et il les conserve dans l'existence comme il nous soutient. Nous lui devons donc, non seulement un culte privé, mais un culte public et social, pour l'honorer ».

« En outre, cette thèse est la négation très claire de l'ordre surnaturel; elle limite, en effet, l'action de l'Etat à la seule poursuite de la prospérité publique durant cette vie, qui n'est que la raison prochaine des sociétés politiques, et elle ne s'occupe en aucune façon, comme lui étant étrangère, de leur raison dernière qui est la béatitude éternelle proposée à l'homme quand cette vie si courte aura pris fin ».

« Et pourtant, l'ordre présent des choses qui se déroulent dans le temps se trouvant subordonné à la conquête de ce bien suprême et absolu, non seulement le pouvoir civil ne doit pas faire obstacle à cette conquête, mais il doit encore nous y aider ».

L'éloge de Sánchez pour la Chine Rouge est une moquerie diabolique de l'enseignement social Catholique. Mais qui est cet Évêque, l'ami que François a élevé à une telle position dans l'Église ? Life Site News l'a exposé pour ce qu'il est : le loup classique dans des vêtements de brebis.

Dans un article intitulé « Un homme, proche du Pape, responsable de tant de mal au Vatican », John-Henry Westen de Life Site a documenté le lien de Sánchez avec les élites du contrôle de la population, y compris à l'époque, le Secrétaire Général Ban Ki-Moon, Jeffrey Sachs et Ted Turner, « deux des promoteurs les plus connus du contrôle coercitif de la population dans le monde ». Westen fournit la citation suivante de la « pensée » de Sánchez concernant l'enseignement de l'Église sur la procréation. Son absurdité arrogante, prononcée dans un anglais approximatif, nous dit tout ce que nous devons savoir sur l'homme et devrait remplir n'importe quel Catholique avec un mélange de crainte et de mépris :

« Souvent, nous ne savons pas exactement quelle est la Doctrine de l'Église — nous en connaissons une partie mais pas toute la Doctrine de l'Église sur la question de la fécondité ... Et les nombreux, nombreux prêtres me disent que la grande solution pour la question de la procréation est l'éducation des femmes. Parce que quand on a l'éducation, on n'a pas d'enfants. Nous n'avons pas sept enfants. Peut-être que nous avons un enfant, deux enfants. Pas plus. Et c'est aussi une obligation pour l'Église ... Ainsi dans le catéchisme [sic] de l'Église, on dit : « L'État a la responsabilité du bien-être de ses citoyens. À ce titre, il est légitime que l'État intervienne pour orienter la démographie de la population : « C'est aussi une idée de l'Église Catholique ».

Avec chaque jour qui passe, il devient plus évident que l'élément humain de l'Église est sous l'emprise de ses pires ennemis — les ennemis intérieurs, pour faire allusion à la révélation de Benoît XVI concernant le Troisième Secret de Fatima en 2010. Ce sont des ennemis pires que ceux qui attaquent l'Église de l'extérieur, comme l'a averti le Pape Benoît XVI.

Il semble que maintenant notre seul recours est de dire la vérité face à ce mal alors que nous attendons ce qui doit être la résolution dramatique du Ciel de la plus grande crise que l'Église n’ait jamais subie.

Aucun commentaire:

Publier un commentaire